Dana Gould est un fan d'horreur auto-évalué, la personne parfaite pour diriger un spectacle sur les shérifs actuels traitant des esprits hostiles. Cependant, malgré une bêtise souhaitable et des références de culture pop agressive, "Stan Against Evil" a parfois du mal à trouver une identité suffisamment unique pour s'élever au-dessus du reste de son genre. 1. C’est une arme puissanteDe toute évidence, il s'agit d'un film réduit pour la télévision des années 70 et il se voit dans tous les sens. Le jeu est terne et les ensembles sont ternes. Le script est encore pire que le jeu. L'intrigue est prévisible et la fin laisse plusieurs questions sans réponse. La seule qualité de rachat de ce film est Dan O'Herlihy dans son rôle de prêtre qui interprète un exorcisme. Le film est une arnaque d'autres films démoniaques tels que Rosemary's Baby, The Omen et The Exorcist, mais il ne capture aucun de leur drame ou de leur tension. Il était censé être un pilote pour une série qui n'est jamais devenue, donc il se termine brusquement avec quelques points clés non résolus. C'est dommage car ce film aurait pu être génial. La bonne nouvelle est qu'elle est disponible sur DVD. Donc, si vous cherchez un petit puant ennuyeux pour vous endormir, c'est celui pour vous. 3. C'est une arme de destructionGenocyber est une arme terrifiante de destruction massive qui est le résultat d'une recherche militaire contraire à l'éthique. Il a le pouvoir de détruire le monde entier en un instant, et ses capacités télékinénétiques et pyrokinétiques le rendent encore plus dangereux. C'est une arme qui ne devrait jamais être activée. Ces armes visent à tuer, et elles l'apprécient généralement. Ils ont une personnalité qui varie, selon le type d'arme - un poignard est insidieux, une hache encourage la brutalité et un personnel est subtil et sophistiqué. Ces armes peuvent également tuer leurs détenteurs, soit instantanément s'ils ont assez faim ou au fil du temps en drainant l'énergie vitale.
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